Moi c'était une promo sortie chez MediaMarkt. Puis c'est en Belgique que je l'ai acheté, ils prendront pas ton argument en compte Et puis faut jamais acheter un cd tout neuf directement sans aller voir si c'est moins cher ailleurs si tu as la possibilité de le faire ! Je ne sais pas où tu habites, mais si tu as la possibilité de voir plusieurs disquaires ou plusieurs grandes surfaces, c'est toujours mieux de faire un comparatif. De toutes façons, ce qui est reversé au final à l'artiste est tellement dérisoire par rapport au prix que toi tu paies, autant payer moins cher...

Ca c'est vrai !
Non en fait j'habite à Nimes mais comme mes parents travaillent à Avignon, j'achete tous la bas et puis avec les cartes de fidélités, ça me reviens moins cher au final, en fait, je m'aperçois que des trucs sont moins chers (DvD, Livres...)et d'autre plus chers, ça a toujours étaient comme ça et puis je vais pa faire chier mon monde pour 3 euros ...

On peut faire quoi ?
( vous êtes dégueulasse vous allez me faire regreter d'avoir acheter Alice and June !!!)

moi je l'ai payé 18.99€ à la FNAC ==> magasin de mes deux va !!!

Svp, j'ai pas parlé de la dérivation pour les murs

S'cuse nous Nathy ! (cé koi le sujet ?)
Ah oui, le nouvel album, je sais juste qui seront en Autriche au mois de Juin pour en jouer des morceaux c'est tout !

Il ne faut pas oublier aussi que la France est le pays numéro un des taxe!!!!Hé oui pauvre de nous:!!!!Ils en profite!!!

Dernière modification par placebo never die (22-12-2005 14:55:26)

Ah ben oui, moins d'un mois avant la sortie du single ça devrait être tenable

oui il y a de fortes chances, dailleurs si mes souvenirs sont bons c'etait aussi chez zézé quils avaient passé en exclu 20 years et I do..

n mars 2006, le trio scellera ses dix ans d'existence par un cinquième album qui renoue avec l'énergie contagieuse des débuts. Plongée exclusive en studio.

D'abord, on ne distingue rien, ou presque. Perdue à l'ombre d'une artère commerçante abritant pubs, restaurants indiens et boutiques de luxe, la discrète Charlbert Street semble figée. Trottoirs fatigués, jardinets soignés, façades uniformes... Rien ne vient troubler la monotonie des lieux. Seul bâtiment à détonner dans ce quartier bourgeois situé à une bouche de métro de Regent's Park, le numéro 42, ancienne école à l'architecture victorienne qui a été transformée en studio d'enregistrement en 1976 par le producteur Mickie Most.

C'est ici, derrière ces murs de briques jaunies, que Brian Molko (chant, guitare), Stefan Osdal (basse) et Steve Hewitt (batterie) travaillent depuis le mois de juin dernier sur le cinquième album de Placebo. Après avoir abandonné à la mignonne hôtesse d'accueil GSM, lecteur MP3 ou tout autre appareil électronique ressemblant de près ou de loin à un enregistreur, le visiteur pénètre dans le saint des saints. Dans la cuisine aménagée en loft, on trouve une machine à expresso, un sofa en cuir, une table de ping-pong, un juke-box Wurlitzer, un frigo vintage sur lequel est posée une assiette remplie de cookies et, à même le sol, quelques disques d'or d'artistes ayant enregistré ici (de Kim Wilde aux Libertines, en passant par Bryan Ferry, Feeder ou Page/Plant).

« Bienvenue au RAK ! Il s'agit de l'un des derniers studios indépendants de Londres ¼, lâche un Brian Molko tout sourire. « Vous l'avez constaté en arrivant. Il est situé dans un quartier résidentiel, loin du stress, loin du show-business, loin de tout. Quand Dimitri nous a conseillé cette adresse, nous n'avons pas hésité une seconde. Elle offrait l'atmosphère, la discrétion et le confort que nous recherchions. ¼

« Dimitri ¼, c'est Dimitri Tikovoi, un producteur franco-russe installé à Londres depuis cinq ans qui était à la base du projet Trash Palace (un album passé inaperçu en 2003). C'est lui qui a été choisi par Placebo pour mettre en boîte le successeur de "Sleeping with ghosts ". « Pour Sleeping with ghosts, nous avions fait appel à Jim Abbis, un producteur plutôt branché hip-hop qui avait bossé avec Massive Attack ou DJ Shadow ¼, précise Brian Molko. « A cette époque (2003), nous voulions quelqu'un d'étranger à Placebo et à sa musique, histoire qu'il casse notre son et apporte une vision originale et personnelle à nos chansons. Dimitri, c'est l'autre extrême. Il a notre âge. Il connaît parfaitement notre parcours. J'avais chanté à sa demande sur le disque de Trash Palace (la chanson The "Metric System" ainsi que la reprise de "Je t'aime (moi non plus)" avec Asia Argento). Il avait déjà remixé un morceau pour Placebo ("Black-Eyed" extrait de l'album "Black Market Music"). Nous savions que c'était l'homme qu'il nous fallait. Il avait une faim égale à celle du groupe ¼.

A la fin de l'éprouvante tournée mondiale "Sleeping with ghosts", Placebo avait publié la complilation "Once more with feeling" en guise de bilan, avant de s'accorder une pause bien méritée. A la sortie de cette collection de singles, Molko annonçait que la plupart des chansons du cinquième album étaient déjà écrites. « On pourrait entrer en studio demain, mais on ne veut pas ¼, confiait-il ainsi à Télémoustique le 2 octobre 2004. « Nous avons besoin de faire un break. Il est temps de vivre un petit peu chacun de notre côté. Réapprendre à préparer nous-mêmes notre petit déjeuner. Nous devons nous aérer. ¼

Le trio ne s'est jamais imposé aucune ligne de conduite stricte en entrant en studio. Les chansons possédaient un squelette et étaient déjà dotées d'articulations. Restait à les habiller. Certaines rumeurs annonçaient des expérimentations électro, voire hip-hop. Rien de tout ça. Le nouveau Placebo est rock. Il marque clairement une volonté de recadrage avec des sonorités évoquant les premières salves du groupe, lorsque celui-ci balançait sa fièvre postadolescente sur le déviant "Nancy boy".

« Placebo négocie un tournant important dans sa carrière ¼ précise Dimitri Tikovoi. « En quatre albums, le groupe n'a jamais cessé d'évoluer. Chaque disque était plus produit que le précédent. J'ai longtemps discuté avec le groupe pour savoir ce qu'il souhaitait. Retrouver l'énergie et la spontanéité des débuts ou aller plus loin dans la sophistication ? Il a opté pour la première voie car les morceaux s'y prêtaient parfaitement bien. Le RAK dispose de trois studios. J'ai choisi d'enregistrer dans la plus grande pièce. Brian, Stefan et Steve jouaient en triangle en se regardant. Il n'y avait aucune machine. Mon but était d'extraire un son brut. Je me suis concentré sur les chansons et l'unité du groupe plutôt que de travailler séparément la voix et les instruments. ¼

Placebo a enregistré seize morceaux au total. L'album devrait en compter onze. Le mixage a été confié à Flood, véritable fêlé du son, responsable notamment du "Any minute now" de Soulwax, de "Pop" de U2, de "To bring you my love " de PJ Harvey. Flood est également un fidèle collaborateur de Depeche Mode ou encore de Billy Corgan. Lors de notre visite au RAK, Flood travaillait toujours sur le mixage de certains morceaux. « Nous nous sommes fixé un agenda ¼, poursuit Molko. « L'album sera terminé pour la fin décembre. Je ne peux pas vous donner de titre pour la simple raison que nous n'en avons pas encore trouvé. Idem pour les chansons dont l'intitulé pourrait encore être modifié. ¼

Nous avons pu découvrir en avant-première neuf chansons de cet album qui est annoncé chez Virgin pour le 13 mars. Un single sera servi en guise d'apéritif en janvier. Il s'agit de "Song to say goodbye", dernier morceau que Placebo nous a fait écouter. Et pour cause...
« Flood a terminé le mixage hier soir. Nous en sommes très fiers. Vous entendez ces guitares ? ¼ Et de fait, les guitares sont omniprésentes. Directes, parfois superposées en plusieurs couches successives, illuminées ici par un effet de réverbération, là par une distorsion. Elles appuient quasiment toutes les compositions, seules deux balades mettent en exergue des cordes et du piano.

Impossible bien entendu de donner un verdict après une session à chaud arrosée de Stella Artois (« pour la Belgique ¼) et de vin rouge (« pour la presse française ¼). "Song to say goodbye" possède tous les ingrédients du tube, de même que "Because I want you", l'étonnant "Space Monkey" (rien à voir avec la composition du même nom, signée Patti Smith, qu'on retrouvait sur son album "Easter") ou encore "Meds" (titre non définitif), entêtant duo interprété avec Alison VV Mosshart, chanteuse de The Kills. Certains sites Internet parlaient également d'un duo avec Micheal Stipe de REM. Pour toute réponse, nous avons obtenu un « No comment ¼ de Brian Molko. Quelques jours après notre rencontre, il précisait pourtant au magazine Kerrang qu'il y aurait un autre duo que "Meds" sur l'album. « Mais je ne vous dirais pas avec qui. ¼

Chose assez rare pour le signaler, le groupe a souhaité assister à ces quelques séances d'écoute privilégiée. « Nous sommes vraiment excités par ce disque. C'est toujours intéressant de voir la réaction des gens qui l'écoutent la première fois. Ils n'ont même pas besoin de parler. On peut voir s'ils accrochent ou pas. Jusqu'à présent, c'est plutôt des mines réjouies qui sortent d'ici. C'est plutôt encourageant ¼, confie ainsi le géant Stefan Osdal. « Forcément, nous n'avons pas la même oreille que vous. Nous, on fait attention aux détails du mixage, à la grosse caisse de batterie qui ouvre le morceau, à un piano qui a été ajouté de manière discrète. Nous n'avons pas encore le recul nécessaire, mais nous en sommes très fiers. Ce disque est à la fois mélodieux, rapide, punky par endroits et déprimé à d'autres ¼. Verdict le 13 mars prochain.


Petit rappel: sortie du 1ersingle pour le 24 février ....

Dou Rien

Auj j'ai voulu acheter rock pour la 3e partie du making off et rien!! Pas encore en kiosque!!
Mais il est deja dispo qd on farfouille sur le net!!
Encore une fois les anglais ont un train  d'avance sur nous!!!

Je vous met le lien car sinon la page est deformée!!

http://img356.imageshack.us/img356/2549/rockmag27aj.jpg

Dernière modification par Sweet Lili (04-01-2006 20:09:29)

Par contre l'article est precedé d'une review mais j'ai juste trouvé la trad en anglais faite par google!!!
en attendant c'est mieux que rien!!!

The call of London
As the emaines ravel, the new album of placebo takes an increasingly concrete form. 3 months before its exit, scheduled for March 13, Rock Mag were invited in the London studios of the trio to discover 9 titles from of excluded.

Monday November 28. We pass the customs, then the gantries of safety, finally the door of the eurostar of 11h43. Does the train start, exceeds the Stage of France, the station of Lille, the Channel tunnel? One hour later, it is the suburbs of London which appears, then the power station of the small pocket of Animals de Pink Floyd. The more one approaches and the more the excitation goes up.

Arrived at the station of Waterloo, we jump in a typical taxi londonnien. The driver makes us cross the city while leading like a patient, on the spot laisant the streets, the last buses with imperial condemned to disappear and the phone boxes rubicondes. Nousa let us rrivons in front of studios RAK, with two steps of Regent' S Park, with one hour in advance. Even if it means to kill time, we decide to go to drown it in one pint with the pub of at side. Of return at the appointed time, we are accomodated by the staff of EMI, which installs us in a show of the 1st stage. The corridors are armoured of matos... Those of placebo, but also of Gomez which records in the studio 1h15min later, one introduces us into studio 3. They all are there, Brian, Stefa,; Steve, Dimitri Tikovoï and some technicians. It misses only Flood, which mixes at side. Brian explains us why we are the first lucky devils to listen to the album and precise that mixes it is not completely finished. We will be able to understand 9 their 16 new pieces, the majority without title. Between 11 and 13 will be reproduced on the final version of the opus. Even if the excitation to present the animal is read on the faces of the 4 homes, it is seen that confidence reigns. They seem sure them. Brian Molko proposes red wine and beer to us, and shows us seats where to settle. The technician of the sound system, finally, lance it for what I have traversed 347,6 km for this morning.

Track 1 (No title yet)
the piece starts of a blow and poses at once a rhythmic rapid, containing guitar obsessed by only one frantically repeated agreement. The melody, very fascinating, allured immediately. The battery is entêtante, the guitars pushed in their last cuttings off, one perceives some arrangements derrières. Molko repeats "Don' T give up ' causes I want you". A light bridge suspends then placebo in a short pause before the return of the large rock'n'roll for an end as sudden as the beginning. Concurrently to me, the foot of Dimitri beats measurement.

Track 2: Meds
the intro is very close to that of Every You Every Me, a female-intonated voice - VV, of Kills - starts to sing, joined soon by that of Molko. The two songs mix in choruses on guitars urgantes, the pressure goes up of a notch, the 6-cords are saturated, it is the climbing until the end, which fall suddenly on the same agreement from dry as in intro.

Track 3: Infrared
A starts it piece, one thinks one half-second of Taste In Men for environment, but in a darker register. The refrain is extremely attracting, one is inside as of the first listening. The verses are a structure voix/clavier/battery, the bridge in voix/battery. Up to now, the 3 heard parts could be as many single.

Track 4: Does One of have Kind
the intro (xylophone or marimba?) quickly leave the place to a very black verse, which points out the type of sound that one found on Sleeping With Ghosts. The continuation is a flood of guitars which gives us illico under pressure. What one hears is more undue, more Black Market Music. The guitars are really ahead, Brian Molko releases in its words a "I Am the quite relevant One" because, precisely, environment points out that of I Am the One of Smashing Pumpkins. The whole finishes on a sentence repeated several times by Molko, only without instrumentation: "One the signal of the world, you get nothing done"

Track 5: Space Monkey
the battery introduces the piece, accompanied by scattered metal noises. The song is really dark and the very serious guitars. The voice arises nevertheless from the shade to adopt a tone much more clearly thereafter. Metal choppers fall behind plane, the verses are grandiloquents with keyboards epic before the cords. A small pause with the piano intervenes, accompanied by the murmurs of Molko, then one sets out again in the heroic one before a outro without keyboard on agreements in réverb' and a xylophone which shells the last seconds.

Track 6: Follow the Cops Back Home
the intro is in echo, the rates/rhythms which follow are faster, but accompanied by a calm song. The melody is built on the medium of the piece with the contribution of keyboards. The guitars are whirling and limpid, saturated but peaceful, it is the most luminous beach until there.

Track 7: Post Blue
Of the guitars drowned in water glass seem mimer a childish melody. The song is a little rappé and agrees pauses which precede by the epic transitions on keyboards. The feedbacks of guitars strew the verses, Molko présisent "It' S in the Water baby". Ca gets along and, during the bridge, Brian even seems to put the head in a bottle before all does not finish on undue rates/rhythms.

Track 8: In The Cold Light Of Morning
As of the intro, one pene with Tim Burton. Molko seems to tell a horrific tale. One intends a dry guitar to be detached from stagnation, then the whole leaves in a black waltz before a solo organ. The idea is done more precise: it is the band of a dark adaptation of Amélie Poulain under the snow, filmed by Tim Burton. It is the piece more clamp as a whole, it is completed like a bad dream of puppets in black and white.

Track 9: Song To Say Goodbye
One sets out again directly in the speed. Molko lets escape its sentences one, one feels the guitars behind which trépignent while waiting to be able to release itself completely. However, the continuation is not the had a presentiment of storm, even if she is irritated a little. The 2nd refrain starts in a trip with guitars with rhythmic tinted of Without You I' m Nothing covered with a layer of furious keyboard. The piece finishes on a continuation without end of "Goodbyes" repeated by Molko.

As a whole, the 9 tracks emphasize a less smooth sound and much more rock' N roll that Sleeping With Ghosts, but the mix not being finished at the time of listening, one do not know if the final version will keep this same rough spirit and sinks... Steve Hewitt would assure in any case us the tendency, a few days later by telephone.

Dernière modification par Sweet Lili (04-01-2006 21:31:12)

et le petit lien qui manquait au bonheur de tous Lisez et bavez !! (comme moi à propos de in the cold light of morning ) ...

par contre juste un truc il me semblait avoir compris qu'il y aurait 2 cd pr le prochaine album? ou alors c moi et ma gourmandise?